Ils ont dit...

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rameau

Ils étaient là lors des Journées du patrimoine; elle nous a dit qu'elle venait retrouver l'esprit de Jean Philippe RAMEAU, son ancêtre. Ils ont chanté.
Ce fut un beau moment. Grâce.

 

 Lire l'hommage au récital de Laurent Martin, par Bertrand Bolognesi, pour Anaclase 

 

Lire l'article dans le magazine Art & Décoration 
 
"Nouvelle soirée parfaitement réussie, comme toujours.
On en repart plus intelligent et meilleur. C'est la magie du lieu, mais nous savons bien la ténacité, l'application et le talent qui sont derrière."
Jean-Pierre BRAIN
 
 
"Son jardin en terrasses invite à entrer et à rester tant il éveille l'impression d'un jardin d'amour où deviseraient chevaliers et gentes dames du Décaméron."
Le guide bleu Bourgogne/ édition 2006
 
 
"Un peu d'Italie pour ce jardin en terrasse..."
Détours en France - Juin 2008
 

"Je garde en mémoire un moment magique ressenti aux dernières journées du patrimoine en la bonne ville de Dijon. Ces instants intenses, je les ai vécus au 7 de la rue Hernoux, dans l’Hôtel Maleteste.
Une heure magique passée à déambuler entre la cave appuyée sur l’antique castrum, les escaliers en colimaçon de la fin du Moyen Age, l’envolée classique du grand degré conduisant à la plénitude des lumières de la bibliothèque et, finalement, la promenade presque champêtre dans le délicieux et si mignon jardin à la française.
A cette description forcément fruste  de la réalité du cadre, il me faut aussi ajouter l’animation culturelle dont est habillé l’ensemble.  Il existe donc bien au cœur de Dijon un lieu où l’art de vivre et du partage atteignent des sommets olympiens. Le bien-vivre bourguignon pouvait en être un terreau fertile. Encore fallait-il passer aux actes."
P. Boillat
 
 
"A très bientôt pour profiter de vos initiatives et de vos soirées  si agréables.
[...] Merci pour cette belle soirée autour d'un piano, et pour nous avoir fait si bien commencer l'automne."
Marie-Claude PASCAL Conservateur en chef à la Mairie de Dijon
 

"La décoration, les illuminations en font un décor féérique. La musique, le talent du violoncelliste s’ajoutaient à la beauté des lieux."
Janine CARMET
 
 
"La mise en valeur du patrimoine par des animations artistiques et ludiques doit permettre de faire des Journées du Patrimoine une véritable fête qui suscite l'intérêt de tous les publics."
Le ministère de la Culture
 
 
"Très belle soirée, inattendue...
Tant de beauté, pour les yeux, les oreilles même le palais.
Et puis tant d'Amour, chanté et vécu.
Merci donc et bien sûr Encore!"
Danièle
 
 
"Bravo pour le concept. L'idée est d'autant plus pertinente qu'elle s'inscrit dans un projet cinématographique."
S. Bouissou
 
 
"Voilà bien un lieu magique pour créer, interpréter et apprécier"
Jacques Nourdin (dans le personnage de Bach)
 

"la façon inimitable que vous avez d'accueillir les invités, le raffinement gastronomique et la beauté sidérante du lieu ont contribué à rendre cette soirée inoubliable. Le temps semblait suspendu;
Nous méditerons longtemps, grâce à vous, sur ce mélange délicieux entre amitié, mécénat et musique"
Jean Christophe PERNY
 

Merci pour la qualité et surtout l'accueil et l'ambiance du dernier festival des artistes Boliviens. J'ai passé avec Didier, passionné de photo et vidéo ainsi que de l'Amérique du Sud, une excellente soirée.
André Loew, Soleil d'Enfant

 

  Le vieux Dijon compte de fort beaux hôtels particuliers dont le Maleteste n’est pas des moindres. Dans ce cadre prestigieux autant que chaleureux, l’association Les amis du 7 (numéro 7 de la rue Hernoux) accueille depuis six ans une saison culturelle tous azimuts où la musique siège en bonne place. Sur le Bechstein de sa bibliothèque Régence, Laurent Martin embarque le public dans la découverte de Charles-Valentin Alkan, croisière qui accoste plusieurs facettes d’un musicien à la facture contrastée. En 1985, l’interprète rencontrait pour la première fois cette musique, à l’occasion du Festival Chopin. De là naquit une véritable passion, puisqu’il passa près de dix ans à l’étudier en profondeur et que jamais depuis il n’a cessé de la jouer.

De même que les cinq pages apéritives empruntant à Chopin, le salon où sonne ce récital permet une approche idéalement contextualisée, une sorte de « hors-temps » où les proportions du lieu et la moelleuse nature de l’instrument se répondent dans un fin équilibre acoustique.

Bertrand Bolognesi, Anaclase